lundi 6 août 2007

QUEL SORTE DE CON(NE) ETES-VOUS ?

C’est l’été, et en été, l’humain moyen passe son temps sur la plage à : lire le dernier Dan Brown, feuilletez le Closer de la semaine (ou le Public), se cramer la pilule et… faire les tests pourris des magazines (qui n’a jamais entendu "eh, chéri, viens, on fait un test pour savoir si t’es mon âme sœur hindoue !"). Alors, forcément, j’ai pas pu résister…


( 1 ) Qu’ont pu dire vos parents à votre naissance ?

£ "Oh, t’as vu, il nous montre son majeur, comme c’est mignon !"
# "On peut déjà lui donner de la bière, non ?..."
+ "Ca fait quand même six jours qu’il pleure sans arrêt, docteur !"


( 2 ) Dans la cour de récré, vous étiez plutôt…

+ … la terreur qui tirait les cheveux à ses petits camarades.
# … la bouboule avec qui personne ne voulait jamais jouer.
£
… la balance qui allait toujours incriminer Mohammed ou Sahid, alors qu’ils n’avaient rien faits.


( 3 ) A l’adolescence, vous étiez dans quel clan ?

# Le fan de jeu vidéo et de jeux de rôles qui se bat avec ses deux seuls potes pour déterminer quid de Halo 3 ou de Hitman 5 a le game-play le plus fluide.
+
Cheveux rasés pour économiser le coiffeur afin de pouvoir acheter une nouvelle paire de rangers assorties à votre veste en cuir noir inspiration Gestapo. Le parfait facho !
£ Un peu punk, mais juste parce que c’est mode et que ça fait rebelle. Et les filles préfèrent les rebelles, c’est bien connu…


( 4 ) A quel niveau d’études êtes-vous arrivé ?

+ Vous exercez un de ces nombreux métiers bien payés dont l’inutilité est voilée derrière une appellation obscure (directeur des ressources humaines, chef de projet, etc.).
£ Vous avez changé cinquante fois d’orientation, c’est tellement bien quand c’est papa et maman qui payent tout pour vous…
# Vous vous êtes arrêté au brevet après la troisième tentative, après, de toute façon, c’est pour les intellos, les putes et les pédés !


( 5 ) Dans votre cercle d’amis, vous êtes…

#
Celui qui apporte les bières, parce que Jean-Mi’ s’occupe des chips, Bébert des pizzas et c’est chez Jackie qu’on va mater le match parce qu’il a acheté un plasma tombé du camion.
£
Celui qu’il ne faut jamais placer en face de la copine en pleine dépression au risque de la pousser au suicide entre le fromage et le dessert.
+ Celui reste assis à louer les nouvelles réformes de l’UMP pendant que les femmes s’affairent en cuisine.


( 6 ) Après l’amour, vous dites :

£ "Alors, c’était bien, hein ? Enfin, pour toi ?..."
+ "Bon, ben il te reste plus qu’à me sucer un p’tit coup…"
# "Rrrrooofffff-chhhuuuuuu, rrrrooofffff-chhhuuuuuu, rrrrooofffff-chhhuuuuuu…"


( 7 ) Au volant, à part conduire, qu’est-ce que vous faites ?

+ Vous gueuler "connard" ou "salope" en précisant énervé à votre portable, que, non, c’est pas à toi que je parle !
# Vous faites de la spéléo avec l’index dans votre nez, persuadé que personne ne vous voit.
£ Vous roulez à 10 dans les zones 30 quand personne ne peut vous doubler parce que ça vous fait marrer.


( 8 ) Pour vous, y a quoi après la mort ?

£ Rien, espérons.
# Le Paradis, espérons.
+ Des champs entiers de pétasses dociles, c’est sûr !


=====================================================

Vous avez une majorité de #
VOUS ETES UN(E) GROS(SE) CON(NE)

Vous êtes con mais vous n’y pouvez rien ! Vous tenez ça de vos parents, de votre entourage, de votre éducation, bref, c’est pas ta faute ! Vous m’aimez personne et ils vous le rendent bien. Vous êtes ce que ces connards de gauchos ont appelé un beauf et ce que ces sales jeunes ont nommé un "ziva, bouffon". Vous n’êtes plus récupérable, mes condoléances, un gros con, on le reste toute sa vie, parce c’est inscrit dans votre code génétique. Alors, puisqu’à votre échelle, vous n’êtes définitivement plus sauvable, pitié, essayez au moins de ne pas avoir de gosses ! (Merci pour eux… et pour nous.)


Vous avez une majorité de +
VOUS ETES UN(E) SALE CON(NE)

Vous n’êtes pas né con, mais une multitude de circonstances aggravantes vous y ont amené. Contrairement au gros con qui râle en spectateur, vous êtes acteur de votre connerie. Vous ne loupez pas une occasion de foutre la merde dans n’importe quelle situation. Pire : ça vous amuse et stimule insidieusement un sourire satisfait à se former sur votre bouche. Un avion en retard ? Vous serez le premier à pousser à bout la pauvre stagiaire dépassée derrière son comptoir jusqu’à ce qu’elle fonde en larmes. C’est tout vous, ça ! Quand vous râlez, ce n’est jamais innocent : c’est parce qu’il y a quelqu’un à mettre minable dans les parages !...


Vous avez une majorité de £
VOUS ETES UN(E) PETIT(E) CON(NE)

Vous, au fond, vous n’êtes pas bien méchant. Juste insolent. Très insolent. Beaucoup insolent (même si c’est pas français). Vous sautez toujours sur la première occasion de faire chier le monde en assénant une de ces réparties cinglantes dont vous avez le secret. Bien que vous n’appréciiez que ce qui se trouve dans un périmètre d’un mètre autour de votre nombril, vous n’êtes pas mécontent quand vous réussissez à faire rire au dépend de votre cible du moment. Et il n’est pas impossible qu’au collège, le dilettante du fond de la classe qui regardait le prof droit dans les yeux sans écouter un mot du cours, c’était vous !